Restaurer en assurant la pérennité de la bâtisse, en préservant l’héritage passé tout en l’adaptant au confort d’aujourd’hui.
Les espaces
Dans l’entrée nous avons abattu la vieille cloison qui la séparait du séjour et qui s’avérait mal placée – elle empiétait sur l’espace de vie. L’entrée a été légèrement réduite et c’est un placard qui assure la délimitation avec le salon.
Les remplissages en plâtre entre les colombages de l’escalier ont été retirés au rez-de-chaussée et au premier étage afin d’ouvrir l’espace et d’y faire pénétrer la lumière naturelle.
Le palier au premier étage a été rabaissé afin d’assurer une parfaite continuité avec la chambre et la salle de bain. Il a également été divisé de moitié de manière à créer une salle de bain spacieuse.
Au dernier étage, l’ensemble des anciennes cloisons ont été abattues. Une salle d’eau a été créée et une grande chambre a pu être aménagée.
Les matières
Le bâtiment présentait de nombreuses faiblesses structurelles au niveau des planchers et des charpentes. Il a été entièrement mis à nu afin de diagnostiquer au mieux les renforcements nécessaires.
Nous avons profité que les murs soient entièrement piochés pour appliquer un mortier de chanvre et de chaux en guise de correctif thermique. Un enduit de finition à la chaux a été lissé à la manière d’un stuc.
Les tomettes de la cuisine ont été restaurées en place. Celles de la buanderie et de l’entrée ont été déposées dans d’autres pièces, nettoyées et remise en place.
Les vieux parquets ont été déposés, recoupés et restaurés pour s’ajuster au nouveau calepinage dans la chambre et sur le palier (initialement couvert de tomettes).
Les portes palières et de placard ont été restaurées et remises en place ou réemployée ailleurs dans le projet.
La couverture a été isolée par l’intérieure avec de la laine de bois afin d’assurer un confort d’été optimal. Les doublages en fermacell ont été enduits à l’aide d’un badigeon de chaux.
L’ensemble des plafonds ont été refaits à neuf en staff, les corniches ayant été reproduites à l’identique.
L’ensemble des placards ont été réalisés en contreplaqué de chêne. Les façades sont en chêne massifs huilé, ou vitrifié dans les pièces humides.
Les détails
La cuisine a été optimisée et dessinée avec l’agence bruxelloise Baden Baden. Elle se pare d’une magnifique pierre naturelle en plan de travail et en crédence.
Le chauffage est assuré par des radiateurs électriques à inertie pierre réalisés par l’atelier français Cinier. Ils ont été patinés à la main par l’artiste Johanne Cinier afin de s’harmoniser avec les enduits à la chaux et le papier peint dans la chambre.
Afin de garantir le nombre de watts nécessaires dans la chambre, un radiateur-miroir a été installé au-dessus de la cheminée.
Les appareillages en laiton finition vieux bronze sont signés Modelec.
La salle de bain et la chambre du premier étage mettent en scène un papier peint à la main de la maison De Gournay.
Enfin, au dernier étage c’est une tapisserie de la maison française Pierre Frey qui a été choisie.
Restaurer en assurant la pérennité de la bâtisse, en préservant l’héritage passé tout en l’adaptant au confort d’aujourd’hui.
Les espaces
Dans l’entrée nous avons abattu la vieille cloison qui la séparait du séjour et qui s’avérait mal placée – elle empiétait sur l’espace de vie. L’entrée a été légèrement réduite et c’est un placard qui assure la délimitation avec le salon.
Les remplissages en plâtre entre les colombages de l’escalier ont été retirés au rez-de-chaussée et au premier étage afin d’ouvrir l’espace et d’y faire pénétrer la lumière naturelle.
Le palier au premier étage a été rabaissé afin d’assurer une parfaite continuité avec la chambre et la salle de bain. Il a également été divisé de moitié de manière à créer une salle de bain spacieuse.
Au dernier étage, l’ensemble des anciennes cloisons ont été abattues. Une salle d’eau a été créée et une grande chambre a pu être aménagée.
Les matières
Le bâtiment présentait de nombreuses faiblesses structurelles au niveau des planchers et des charpentes. Il a été entièrement mis à nu afin de diagnostiquer au mieux les renforcements nécessaires.
Nous avons profité que les murs soient entièrement piochés pour appliquer un mortier de chanvre et de chaux en guise de correctif thermique. Un enduit de finition à la chaux a été lissé à la manière d’un stuc.
Les tomettes de la cuisine ont été restaurées en place. Celles de la buanderie et de l’entrée ont été déposées dans d’autres pièces, nettoyées et remise en place.
Les vieux parquets ont été déposés, recoupés et restaurés pour s’ajuster au nouveau calepinage dans la chambre et sur le palier (initialement couvert de tomettes).
Les portes palières et de placard ont été restaurées et remises en place ou réemployée ailleurs dans le projet.
La couverture a été isolée par l’intérieure avec de la laine de bois afin d’assurer un confort d’été optimal. Les doublages en fermacell ont été enduits à l’aide d’un badigeon de chaux.
L’ensemble des plafonds ont été refaits à neuf en staff, les corniches ayant été reproduites à l’identique.
L’ensemble des placards ont été réalisés en contreplaqué de chêne. Les façades sont en chêne massifs huilé, ou vitrifié dans les pièces humides.
Les détails
La cuisine a été optimisée et dessinée avec l’agence bruxelloise Baden Baden. Elle se pare d’une magnifique pierre naturelle en plan de travail et en crédence.
Le chauffage est assuré par des radiateurs électriques à inertie pierre réalisés par l’atelier français Cinier. Ils ont été patinés à la main par l’artiste Johanne Cinier afin de s’harmoniser avec les enduits à la chaux et le papier peint dans la chambre.
Afin de garantir le nombre de watts nécessaires dans la chambre, un radiateur-miroir a été installé au-dessus de la cheminée.
Les appareillages en laiton finition vieux bronze sont signés Modelec.
La salle de bain et la chambre du premier étage mettent en scène un papier peint à la main de la maison De Gournay.
Enfin, au dernier étage c’est une tapisserie de la maison française Pierre Frey qui a été choisie.
